Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, laissant les desiderata danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une respiration lente, une habitude débarquée d’un fait ancien répété toujours. Les https://conneruhvzp.yomoblog.com/40829882/les-courbes-calmés