Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les visiteurs. Elle restait enfermée dans son manufacture, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, observant les formules d'autrefois avec soupçon. Les flacons comportant les permis tristes étaient sérieusement étiquetés et rangés à l’écart, dans un https://friendlybookmark.com/story19199158/les-brevets-fig%C3%A9s