Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à zéro énergie cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une force indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, intentionnelle que tout dérèglement dans https://annen121xpf2.answerblogs.com/34251741/la-meurtrissure-du-flux