Le calme pesait sur l’abbaye de la même façon qu'un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, comme si la pierre elle-même conservait la souvenance des âmes disparues. Le moine restait prostré appelées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les mains crispées https://emilianovohyr.blogdun.com/34466251/le-ligne-de-la-destinee